Un conducteur américain a contesté son amende pour excès de vitesse en présentant une trace que son GPS enregistrait au moment du délit. Cette trace devait prouver qu'il ne dépassait pas la vitesse autorisée, et ainsi que le radar du policier était défectueux.
La délibération a eu lieu. La trace GPS n'a pas été considérée comme une preuve valide car les points étaient enregistrés toutes les 30 secondes, et qu'il était possible pour le conducteur de dépasser la vitesse autorisée entre deux points...
Je ne garanti pas qu'il aurait gagné son procès, mais au moins, la validité de la trace n'aurait pas été mise en cause avec un bon data-logger.
Ça ne serait pas arrivé avec un bon data-logger...
22 novembre 2007
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